L'Étoile Blanche
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Message  So' ♥ Mer 7 Jan - 23:29

Je rentra dans la carriere , Sandro a la main. Je le caresse pour l'encourager mais il ne semblait pas avoir besoin.
Il était même plutot ravi de sauter.
Je monta, régla les étriers puis je lui fit faire un tour au trot puis au petit galop au deux mains pour l'échauffer.
je le mit au pas, rênes longues deux minutes puis je lui fit sauter un petit vertical. Je continua le tour au galop et alla sur l'oxer de 60 cm.
Il le sauta sans problème et je le remit au pas en le caressant.
Je lui fit sauter 3/4 petit obstacles d'echauffement aux deux mains puis je le laissa marcher tranquillement.

Je caressa mon cheval et le félicita. Il avait l'air d'avoir vraiment envie de travailler, comme d'habitude ^^
On galopa 2 minutes puis je le fit trotter et le placa pour sauter un oxer de 90 cm.
Pour lui ce n'était a priori qu'une banalité.. Il prit son impulsion et sauta l'oxer sans problème.
Il retomba bien en appui sur ses antérieurs. C'était toujours la même sensation de sauter avec lui.
Cette impression de voler était toujours la même.

Je descendit de Sandro, le tenant toujours de la main gauche. je remonta l'obstacle de 30 cm, ce qui donnait donc un oxer de 120 cm.
Je le caressa, lui donna une petite friandise puis je remonta à cheval.
Une petite pression au niveau des mollets suffit a ce qu'il parte au galop.
Je lui fit faire un cercle puis le mit en direction de l'oxer placé sur une diagonale de la carrière.

Quelques dixième de secondes plus tard, Sandro avait très bien passé l'obstacle.
Je le ralentit et le caressa très très fort pour lui montrer a quel point j'était fiere de lui.
Il sauta un dernier vertical de 60 cm puis je le laissa marcher a sa guise.
Au bout de 5/10 minute je le caressa et je descendit puis on rentra a l'écurie, la ou il faisait déja un petit peu plus chaud.


Dernière édition par kmiss91 le Mer 14 Jan - 20:14, édité 1 fois
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Message  So' ♥ Mer 14 Jan - 20:13

J'entrais dans la carrière d'obstacle, Sandro me suivant activement, oreilles dressées : il avait compris qu'il allait franchir des barres, et il adorait sauter.

Je le fis marcher un moment en main, pour le dérouiller un peu par le temps, qui - même en étant clément - n'en retait pas moins un temps d'hiver.
Les longs membres de Sandro foullaient le sol, et je marchais franchement à hauteur de son épaule.
Puis, je l'arrétais finalement au centre de la carrière, quand je vis que son exitation fut un peu apaisée.

Je descendis mes étriers, ressanglais, puis me hissais doucement en selle, faisant attention de ne pas donner d'à-coups dans la bouche.
Je laissais les rènes libres, pendant que d'une pression de mollet, je fis avancer le cheval, au pas sur la piste.
Les premières lueurs du jour commençeraient bientôt à décliner, et j'observais, pensant au concours, à ce beau spectacle.

Je marchais encore un bon bout de temps rènes longues, le temps de bien réchaffer mon cheval à l'air extérieur.
Puis, je repris mes rènes, et commençais par travailler les transitions descendantes.L'exercice fut rapide.
En effet, je cherchais surtout le mouvement en avant pour un cours d'obstacle, aussi, je passais au trot, et travaillais grandement sur l'impulsion.
L'impulsion était loin d'être son point faible, vu l'énergie ( parfois un peu trop débordante ^^ ) dont faisait preuve Sandro.
Il partait dans un trot élestique et ample, sans être pour autant désordonné, avec d'immenses foullées actives.

Je travaillais aux deux mains, puis, repassais au pas finalement.Je félicitais longuement mon ptit loulou, puis, descendit enlever mon couvre-reins.
Je remontais rapidement en selle, pour me mettre piste à main droite.Je demandais un départ au galop, qui fut bien executé.
Après avoir récompensé mon cheval, je travaillais sur les allongements, et étirais la foullée, jusqu'en un galop long et souple, et néanmoins rapide.

Je repassais au pas, après avoir travaillé également les tournants serrés, qu'il negociait bien avec sa souplesse.
Je fis le même exercice à l'autre main avec Sandro, et tout se déroula pour la mieux, il était aux ordres.
Je le repassais au pas, le félicitais, puis descndit, le temps d'installer rapidement un parcours d'obstacles, le suivant :

- Vertical de 90 cm ,

- Bidet et soubassement d'un mètre ,

- Spa d'un mètre dix ,

- Bidet avec rivière d'un mètre 20 ,

- Oxer polonais d'un mètre 15 ,

- Double d'un mètre 10 ,

-Oxer, d'un mètre 40 .

Je remontais, après avoir également installé un petit cavaletti de 50 cm, pour aborder en douceur les barres.
Je partis au galop à main droite, vers le cavaletti.Il l' aborda d'un galop léger, pour passer souplement l'obstacle.
Je me mis bien en équilire au-dessus de ma selle, puis, félicitais à la réception, le saut de mon cheval.
Je repassais à main gauche l'obstacle, avec le même abord, dans un galop cependant très légerement plus poussé.
Il le passa avec aisance, et sans repasser au pas, mais dans un trot actif, je le félicitais chaudement sur ses deux passages.

le parcours que j'avais installé était l'un des plus habituel pour Sandro mais il y avait quelques difference meme si il les connaissaient pour la plupart par coeur.
Certains, cependant, étaient plus hauts ou en tout cas de même hauteur.J'avais pris soin de mettre un oxer polonais, obstacle rarement franchit dans nos entrainements.
Je voulais éviter les mauvaises surprises, j'avais donc également mis une bidet avec rivière pour qu'il soit habitué à ce genre d'obstacles.
Je me mis piste à main gauche, puis, partis dans un galop très soutenu, dans une logneur de carrière.
La vitesse était grisante, mais j'étais très concentrée sur le premier obstacle, le vertical de 90 centimètres.

Je l'abordais avec précision, puis Sandro, pliant ses longs antérieurs, le franchit sans encombres, avec vitesse.
Je le félicitais à mi-voix, puis, pris une courbe serrée à gauche.Le bidet et soubassement d'un mètre nous attendaient.
Le cheval aborda d'un galop plutôt puissant cet obstacle massif, et, pointa ses oreilles, et fléchit ses postérieurs.

Je maintins un contact avec la bouche, en lui laissant sa liberté d'encolure, pour me mettre en appui au-dessus de mon siège.
Je gardais la tête haute, en évitant de piquer du nez, mon défaut récurent à l'obstacle ^^, pour franchit enfin la barre d'obstacle et son soubassement.
Sandro réceptionna sur ses antérieurs puissants, puis repartit dans son galop long au foullées souples et rapides.
Je le félicitais, puis pris une courbe large cette fois, à droite.Le spa d'un mètre 10 nous attendait, eu détour d'un tournant.

L'obstacle aux barres vertes et espacées se dressait de toute sa hauteur.Mon cheval le regarda avec détermination.
Il prit un appel puissant, vu la largeur qu'il devrait courvrir pour franchir l'obstacle aux nombreuses barres.
Puis, il s'éleva, je gardais mes talons bas, et me maintins sur mon plancher d'étriers, la tête relevée.
Il franchit l'obstacle massif, de toute sa longeur,puis, grâce à ses longs membres, récptionna adroitement.

Je le félicitais de la voix, puis, pris un tournant à gauche.Je veillais bien au changement de pied.

Sandro l'effectua de lui-même, puis repartit dans son galop exhubérant de vitesse, vers le prochain obstacle.
Je sentis un hésitement de sa part, car c'était la premère fois qu'il allait en franchir un de la sorte, avec rivière en soubassement.
Je fermais mes jambes, et le rassurais de la voix " Allez mon grand, on va y arriver ".Il semblait toujours sceptique.
Ses oreilles pointées, il aborda l'obstacle.J'eu le réflexe d'armer mes jambes, ce qui me sauva d'un refus.
Mon cheval, tout de même courageux de nature, décida de franchir l'obstacle.Il pris son appel, mais dans sa peur, toucha la barre.
Elle n'était pas tombée, mais avait été tout de même percutée.Je félicitais très chaudement le cheval à la reception, qui avait tout de même eu le courage de passer.

J'allais lui faire re-franchir une dernière fois en fin de cours, pour qu'il connaisse cet obstacle définitivement, et qu'il n'en ait vraiment plus aucune peur, pour éviter d'éventuelles fautes en concours.
L'oxer polonais nous attendait, dans la même ligne que le bidet avec rivière en soubassement.
Mon cheval repris confiance, et alla au-devant de mes demandes, en accélérant de lui-même légerement la foullée.

A un mètre 15, la hauteur n'étais pas impressionante, mais il jugea de l'appel qu'il semblait le mieux lui convenir.
Je me concentrais déja sur l'obstacle suivant, me mis en équilibre, fixais mes mains, pour franchir l'oxer polonais.
Il l'aborda avec souplesse.
Je le rassurais tout de même, prennant mes précautions, et le laissa aborder de son galop aérien.
Il s'éleva sur ses postérieurs, et décrit une belle courbe au-dessus de l'oxer, qu'il valait mieux survoler de haut.
A la réception, je le félicitais de nouveau, un sourire aux lèvres, il avait bien réussi son oxer polonais .

Le combinaison se trouvait après avoir décrit une diagonale, en milieu de carrière.LEs deux obstacles mesuraient chacun un mètre 10.
Sandro arriva prestement sur la barre, et pris un appel rapproché, pour garder son impulsion pour le deuxième obstacle.
Il fit un beau planer, réceptionna, et mis une foullée d'écart entre les deux obstacles, ses longs membres battant le sol.
Puis, le cheval étendit toute sa grande encolure, pour franchir avec brio la deuxième partie du double.

A la réception, il était concentré sur l'oxer d'un mètre 40, l'obstacle final.Je savais qu'il fallait y accorder un soin spécifique.
En effet, on a souvent tendance à négliger le dernière obstacle en pensant que " le plus gros est fait " et il était dommage, qu'avec aucune barre de tombée - même si nous avions frôlé la catastrophe ^^ avec l'oxer polonais - de se planter sur l'oxer.
Aussi, demandais-je un allongement de la foullé, et me mis bien au-desus de ma selle, essayant de veiller au moindre détail.
Je fixais mes mains pour qu'elles n'incommodent en rien le champion du monde (oula j'exagere un peu lol), puis, me concentrais au-dela de l'obstacle, et non sur la barre - sinon c'était par terre à coup sur, avec ce loulou en plus ! ^^ -

Sandro ne me déçut pas, et prit un appel puissant, encolure ployée prête à se détendre par-dessus l'oxer.
Il dut étendre tout son dos, pour couvrir l'obstacle large d'un mètre 40.Je restais bien en équilibre, et tout se déroula bien.
Il réceptionna avec souplesse, puis, content de son parcours, me décocha l'habituelle grosse ruade de gaïeté ^^.
Je souris, puis, le remis au trot.Je le félicitais de nouveau pour son beau parcours, et le laisser marcher rènes longues 3 minutes.

Comme je l'avais prévu, je décidais de repasser l'obstacle avec rivière, qu'il avait faillit refuser et faire tomber.
Je lui laisser une deuxième fois, le sentir sous toutes les courtures, puis partis au trot, calmement.
Je pris le galop, en étant le plus calme possible, et abordait de la même manière d'un simple droit l'obstacle.

Sandro allongea de lui-même la foullée.Son angoisse avait grandement diminuée, mais je le sentais frémir encore un peu.
Je le rasusrais, puis il prit son appel, plus sur de lui.Il le passa quelques centimètres au-desus, mais de manière souple.
Je le félicitais énormément à la réception, pour qu'il comprenne que j'étais contente de son travail.
Je le repassais, puis à l'autre main.Cette fois, les sauts furent faits avec facilité, et même si j'avais pris 10 minutes de plus, l'obstacle avait été apprivoisé, par mon cheval.
Je le caressais abondament, puis, décidais de passer une dernière fois aux deux mains l'oxer polonais.

Il avait été réussit, mais je ne l'avais franchit qu'une fois avec mon cheval, je préférais donc être rodée.

J'arrivais dans un galop plus soutenu cette fois.Sandro semlait définitivement connaitre l'obstacle, car il l'aborda avec franchise et calmement.
Il prit un appel puissant, puis s'envola souplement, pour réceptionner adroitement, l'obstacle derrière ses sabots frénétiques.
Je le félicitais très chaudement, plusieurs fois.Puis, je le passais une dernière fois à l'autre main, et là encore, aucun problème.
Il m'avait vraiment étonnée cette séance, il avait fait un bon parcours, et avait surmonté sa peur face au nouvel obstacle.

Je sortis un quartier de pomme de ma poche, que je lui donnais.Il l'avala goulument, manifestement content de lui ^^.
Je dessanglais, et le fis marcher encore un moment, pour détendre ses muscles.Enfin, je m'arrétais au milieu de la carrière, le caressais, puis descendit.
Je remontais les étriers, caresa le bout du nez de Sandro, puis, passais les rènes par-desus l'encolure.
Je me dirigeais vers la première rangée d'écuries.
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